Siro

Bonjour/bonsoir à tous, voici la fiche de présentation de mon personnage.

Nom :
Prénom : Siro
Age : La trentaine
Race : Humain
Pouvoir : Reste précis à courte/moyenne placée tout en étant en mouvement
Technique de combat : Archer. Maitrise Arc et arbalète.

Description physique, morale et psychologique :

Physique
Il est assez grand : approximativement 1 mètre 80. Il de a de longs cheveux noirs, une fine barbe de trois jours et est vêtu d’une cape à capuche qui cache une tenue de rodeur en tissu. Plusieurs petites bourses sont attachées à sa ceinture ; l’une d’entre elle contient son argent, on ne sait sais pas ce que contiennent les autres.
Pour devenir un bon archer, il a du développer habilité et dextérité. S’il est impliqué dans un combat au corps a corps, il saura jouer de son couteau de chasse pour s’en sortir.

Morale
Chaotique Bon

Psychologie
Solitaire, il préfère le silence et l’immobilité de la nature au bruit et à l’activité de la ville. Il ne fait pas confiance aux autres. La seule compagnie qu’il apprécie est celle de Kahn, qu’il considère comme son meilleur ami.
Bien qu’éprouvant de la rancœur envers les hommes (cf. histoire), il n’est pas sans cœur. Ainsi, si par exemple une personne se faisait agresser devant lui, il ferait tout de même déguerpir les agresseurs.
Son métier et ses voyages lui apprirent à être patient et débrouillard.

Équipement : Arc, grande arbalète et modèle de poing, carquois, couteau de chasse sur la cuisse droite, montre, équipement de survie, bourse,… le « must have » du bon chasseur =D.

Fonction : Chasseur.

Histoire :


Résumé

(Vu que je comprends que tout le monde n’a pas envie de lire ce pavé… voici, dans les grandes lignes, l’histoire de mon perso)

Siro est élevé par son grand père depuis qu’il a 2 ans. Celui-ci chasseur de profession, lui appris tout ce qu’il savait. Ils habitaient à l’orée d’un bois, en ermite et n’allaient en ville que pour acheter de la viande et de l’équipement. Le grand père de Siro lui répétait sans cesse de ne faire confiance à personnes et que les humains peuvent être cruels sans vraiment avoir de raison…
Pour que son petit fils se sente moins seul, le grand père de Siro lui acheta un chien : Kahn. Le chien devint le meilleur ami et le partenaire de chasse de Siro.

Deux ans plus tard, (Siro avait vingt ans) lors d’une visite en ville pour vendre de la viande, Siro partit seul dans le centre ville, et se perdit pour finalement déboucher dans un cul de sac. En faisant demi-tour, il fut confronté à une bande de malfrat qui en voulait à son équipement et son argent. Le jeune homme en difficulté se fit sauver par son grand-père qui se fit poignarder et mouru.
Siro éprouvait de la rancœur envers les humains. Cette fois il en avait la preuve, les gens pouvaient être cruels, méchants et égoïstes. Il ne voulait plus avoir à traiter avec eux. Il quitta la ville où sont grand père était mort et voyagea accompagné de Kahn, s’arrêtant en ville seulement pour vendre de la viande et pour acheter du matériel.

Ses voyages lui apprirent l’existence de gemmes qui, une fois réunies mettrait fin à la guerre qui rendait les hommes si hostiles (du moins c’est ce qu’il pense). Dans le but de rendre sa vie et celle des autres plus paisible et pour que plus personnes de vive la même tragédie que lui, il décida de partir à leur recherche.

Histoire complète

L’enfance

Son histoire débute il y a une trentaine d’année. A la mort de ses parents alors qu’il n’avait que 2 ans, Siro fut recueilli et élevé par son grand-père, un vieil homme habitant dans une modeste cabane à l’orée d’un bois. Ce dernier, chasseur expérimenté pris la décision de faire de Siro son élève et de l’instruire. Il lui apprit à lire, à écrire et à chasser. C’est pourquoi durant sa jeunesse, Siro n’eu comme principales occupation que de traquer des proies, suivre des pistes, tirer à l’arc, poser des pièges…

Les années passèrent, Siro grandit. Le voici à la frontière entre l’adolescence et l’âge adulte.
Il adorait son grand-père, qu’il considérait comme son père, mais il souffrait de la solitude que la vie d’ermite de son grand-père lui imposait. Il n’avait jamais rencontré de personnes de son âge. Les seules fois où il s’approchait de la ville, c’était lorsqu’il accompagnait son Grand-père pour aller vendre la viande au boucher.

« Grand-père, pourquoi tu n’achètes pas une maison plus proche de la ville ? Ne serait-ce pas plus pratique ? »
Son Grand-père posa ses mains sur les épaules de Siro et lui dit : « Crois en mon expérience Siro, les hommes ne savent que se déchirer entre eux… Plus loin tu te tiendra des villes, mieux tu te portera »
« Je sais, tu me le répète souvent grand-père, mais la solitude me pèse… »
« Je sais Siro, je sais… »
Il n’insista pas, même s’il ne comprenait pas l’attitude de son grand père, se fut la première et dernière fois qu’il lui posa la question. Après tout, il n’était pas comme ça lui, pourquoi les gens de la ville seraient si mauvais ?...


Kahn, l’arrivée d’un ami

Un jour, pour que son petit fils se sente moins seul, le vieil homme revint de la ville avec une surprise. Il tenait, lovée dans ses mains, ce qui semblait être une petite boule de poils noirs.

« Regarde Siro, c’est un chiot, il est pour toi. Nous le dresserons pour la chasse et il sera ton compagnon. Nul n’est plus loyal qu’un chien envers son maitre, tu pourras avoir confiance en lui et il devra pouvoir en faire de même. Lorsque vous chasserez ensemble, garde bien à l’esprit que ce n’est pas ton outil de travail mais ton partenaire. C’est d’accord ? »

C’est ainsi que pendant deux ans, Siro poursuivit son entrainement, accompagné par Khan et jouant avec celui-ci lors de son temps libre. C’était son seul ami.

A la ville… à la mort

Siro avait maintenant vingt ans, il avait grandit et se sentait bien moins seul depuis l’arrivée de Kahn. Cependant, sa curiosité exigeait toujours qu’il en sache plus sur les humains. C’est pourquoi pendant que son grand père vendait la viande à la boucherie en bordure de la ville, il prétextât :

« Grand père, je vais voir pour m’acheter un nouveau couteau, je n’en ai pas pour longtemps »
Le vieil homme hésitait
« Je serais prudent ne t’en fait pas » insista-t-il
« Bon…d’accord, sois ici dans dix minutes… »

Le jeune homme s’engouffra alors dans le centre ville. Jamais il n’avait vu ça, il y avait des gens partout dans les rues. Aujourd’hui, c’était jour de marché. Il s’amusait, explorant la grand place, et les allées du marcher, perdant la notions du temps.
Cela faisait maintenant près d’une heure qu’il était partit. Son grand père serait furieux… il se précipitât pour renter mais il se perdit sur le chemin du retour et s’engagea dans un cul de sac. Quand il fit demi tour, la sortie était bloquée par une bande d’une dizaine de jeune de son âge

« Bonjour, je me suis perdu et… »
« La ferme, donne nous ton arc, tes flèches et ton argent… »
Le voilà pris au piège avec une bande de racketteur… Son grand père l’avait prévenu pourtant…
« Ecoutez, je ne veux pas de conflit, laissez moi passer, je… »

Il n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’ils se jetèrent sur lui. Il savait se débrouiller en combat, son grand père lui en avait appris les rudiments, mais là, ils étaient trop, il sombrait sous les coups. Quand soudain, ceux-ci s’arrêtèrent. Une voix familière se fit entendre

« Dégagez ou je vous enfonce cette flèche où je pense… Espèces de lâches…»

Son grand père, qui était partit à sa recherche, tenait les bandits en joue avec son arbalète. Mais il ne s’était pas aperçu que l’un d’entre eux faisait le guet un peu plus loin. Ce dernier s’approcha du grand père de Siro, sortit son couteau et lui planta dans le dos avant que Siro n’ai eu le temps de prévenir son grand père qui tira une ultime flèche, abattant l’un des bandits.

Les gens commençaient à arriver, intrigué par le hurlement que poussa Siro en voyant son grand père se faire poignarder sous ses yeux. Les assassins prirent la fuite.

« Et merde…Bon les gars on se casse…tu perds rien pour attendre toi… »


Siro pris son grand père dans ses bras et le serra contre lui. Le vieillard poussa un dernier soupir avant de basculer dans un profond sommeil dont jamais il ne se réveillerait.

Depuis ce jour, Siro compris pourquoi son grand père lui conseillait d’éviter la ville et les autres humains. Il se mit à les détester à son tour…Ils
ne sont peut-être pas tous comme ces bandit, certes, peut-être y a-t-il d’autre hommes et femmes comme son grand père, mais après cette journée, il n’en était plus si sur et ne voulait plus le vérifier. « Les hommes ne savent que se déchirer entre eux »… jamais plus il ne l’oublierait…
Il prit également la décision de voyager. Il voulait oublier cet endroit. Il voyageait, s’arrêtant parfois dans une ville pour troquer de la viande contre de l’argent et s’acheter du nouveau matériel.

Les gemmes

Au fil de ses voyages, Siro eu vent de plusieurs rumeurs, toutes parlant plus ou moins de la même chose. Il s’agit de gemmes qui, une fois toutes collectées, pourrait mettre fin à la guerre. Plus le temps passait et plus il se demandait ce qu’il se passerait si la guerre cessait, peut-être que le côté agressif des autres disparaitrait, peut-être qu’enfin les villes seraient plus calmes, peut-être qu’aucune autre personnes ne verrait un membre de sa famille se faire tuer sans raisons devant ses yeux… Cette idée était un peu naïve mais il décida de s’y accrocher et entrepris de retrouver les gemmes. .